Depuis le début de la décadence, jusqu'a sa fin, ainsi qu'au travers de son passé glorieux, agissait dans l'ombre de ceux pour qui il dévouait l'une des périodes de sa vie, un homme tout ce qu'il y a d'ordinaire. Nul journaliste ne le citait, nul seigneur ne connaissait, ou savait bien écrire son nom. Ce bougre du nom de Valazar, était ce qui fut sans doute l'un des piliers, qui soutint au maximum de se qu'il put la guilde Daknan. Malheureusement, cet assassin de basse besogne n'était bien que ce qu'il était ; Un simple mortel, avec autant de faiblesses que ses victimes.
Car si il y avait bien là une chose que notre Prompt savait faire, c'était de tuer, de trahir et d'honorer ses contrats, aussi bizarre que cela pouvait être, Valazar n'était autre que le plus dévoué et fidèle de tout les traîtres à une cause qui ne souhaitait se glorifier ou se couvrir d'aucun d'honneur et de bonne grâce. Celui-là même essaya de donner de nouvelles visions aux Daknans lors de la décadence, car en effet le système administratif mis en place part notre feu Gorath le Fourbe avait fini par lasser.
Cet ordre dans la trahison et la crasse qu'avait instauré Gorath, plaisait en fait à merveille à notre assassin, c'était tout comme l'art de tuer, il y avait des règles des manières de faire, bien ordonnés et précises afin de pouvoir admirer le Chaos se mettre en place.
Peu avant son intégration au sein du groupe, l'assassin avait été promu comme tout les ennemis des Daknans, au rang de Korg, ce qui lui conférait le statut le plus méprisable, et c'est dans cette méprise universelle qu'il acquit de part un acte de trahison la sympathie de notre Fourbe. Le Prompt avait en effet un beau jour intégré les rangs d'une guilde, à qui il donna la mort la plus bête qu'il soit. Les Daknans faisaient ce qu'ils appelaient dans leur jargon, péter guilde sur guilde, pour leur bon plaisir de voir le malheur des autres et les niaiseries que proféraient leurs chartes sombrer dans l'oubli. Mais petit à petit seules les guildes les plus anciennes et les plus méfiantes restaient en place, celles dont le nombre de piliers de ne permettaient pas la tactique régulièrement employée qui faisait l'objet des plus belles blagues et railleries idiotes envers leur victimes.
Les Daknans faisaient se qu'ils appellaient dans leur jargon, peter guilde sur guilde, pour leur bon plaisir de voir le malheure des autres et des niaiserie que profèraient leur charte sombrer dans l'oublie. Mais petit à petit seul les guildes les plus selectent restaient place, celle dont le nombre de pillier de ne permettait pas la tactique régulièrement employé qui faisait l'objet des plus belles blagues et railleries idiotes envers leur victimes.
Au fil du temps les Daknans perdirent leur blason au sein des administrations du doux, commença alors une ère de guérilla en haute et moyenne terre entre-coupée de repos en basse terre qui avait pour dont d'ennerver au plus haut point les seigneurs ayant été pris pour cible. Tout comme les guildes la chose lassa, et le groupe périt tout comme il naquit, à savoir dans l'indifférence générale.
Après cela Valazar oeuvra pour différents comptes, et accumulait les contrats aux quels il mettait un terme tout comme bon assassin.